22.04.2017
Terre — Journée internationale de la Terre nourricière, ce 22 avril. Il s’agit d’un des événements environnementaux les plus connus à travers le monde, organisé à l’initiative des NU. Cette journée « nous rappelle l’interdépendance qui existe entre l’être humain, les autres espèces vivantes et la planète sur laquelle nous vivons tous », explique l’organisation mondiale dans un communiqué. C’est pourquoi, le thème de cette année est précisément « l’environnement et l’éducation aux changements climatiques », un sujet qui sera au cœur d’une campagne planétaire d’éducation qui devrait se dérouler durant les trois prochaines années. Celle-ci est censée « permettre de développer une conscience citoyenne, qui demandera des législations et des politiques en faveur du climat, qui elles-mêmes favoriseront des technologies et des emplois verts », précisent encore les Nations Unies. En Roumanie, cet événement est marqué par une journée portes ouvertes au Musée national de la géologie de Bucarest, mais aussi par de nombreuses activités éducatives pour les petits, des expositions, des ateliers et des concours environnementaux.
Newsroom, 22.04.2017, 13:29
Terre — Journée internationale de la Terre nourricière, ce 22 avril. Il s’agit d’un des événements environnementaux les plus connus à travers le monde, organisé à l’initiative des NU. Cette journée « nous rappelle l’interdépendance qui existe entre l’être humain, les autres espèces vivantes et la planète sur laquelle nous vivons tous », explique l’organisation mondiale dans un communiqué. C’est pourquoi, le thème de cette année est précisément « l’environnement et l’éducation aux changements climatiques », un sujet qui sera au cœur d’une campagne planétaire d’éducation qui devrait se dérouler durant les trois prochaines années. Celle-ci est censée « permettre de développer une conscience citoyenne, qui demandera des législations et des politiques en faveur du climat, qui elles-mêmes favoriseront des technologies et des emplois verts », précisent encore les Nations Unies. En Roumanie, cet événement est marqué par une journée portes ouvertes au Musée national de la géologie de Bucarest, mais aussi par de nombreuses activités éducatives pour les petits, des expositions, des ateliers et des concours environnementaux.
Alarme — Moins de la moitié du territoire roumain est couvert par les signaux acoustiques des sirènes d’alarme, a fait savoir l’Inspection roumaine pour les situations d’urgence, suite à l’exercice national d’alerte déroulé cette semaine. Selon les données déjà recueillies, des centaines de sirènes n’ont pas pu être testées à cause de disfonctionnements techniques ou du manque de personnel spécialisé pour les manipuler. A Bucarest, moins d’un quart du nombre total de ces engins se sont avérées opérationnelles, a révélé l’exercice. De ce fait, l’Inspection pour les situations d’urgence et le ministère des Communications ont annoncé qu’ils sont en train d’étudier la création d’un système alternatif pour informer les citoyens en cas de catastrophe naturelle, d’accident technologique ou de conflit armé. Les avertissements par texto sont envisagés, alors que la quasi-totalité des Roumains disposent d’un téléphone portable, des pourparlers en ce sens avec les opérateurs de téléphonie mobile devant se dérouler jusqu’à la mi-mai, a précisé le ministre des Communications, Augustin Jianu.
Exercice — Un détachement de militaires roumains du Bataillon 307 d’infanterie marine participe à l’exercice multinational « Summer Shield », accueilli par la Lettonie. Les Roumains s’entraîneront aux côtés d’un millier de militaires du pays hôte mais aussi des autres pays baltes, Etats-Unis, Canada, Royaume-Uni, Luxembourg, Bulgarie, Slovaquie, Allemagne et Suisse. Ils participeront à des exercices d’appui à l’artillerie, d’exploration aérienne, de génie militaire, de défense contre les armes de destruction massive. Organisé en Lettonie depuis 2004, « Summer Shield » a été intégré au portefeuille de manœuvres de l’OTAN en 2014, après l’annexion de la Crimée par la Russie.
Tennis — L’équipe féminine de tennis de la Roumanie rencontre ce week-end à domicile la sélection similaire du Royaume Uni, dans les barrages du 2e Groupe mondial de la Fed Cup. Les matchs sont prévus les 22 et 23 avril, à Mamaia, au bord de la mer Noire. L’équipe de la Roumanie est composée de Simona Halep (5e WTA), Irina-Camelia Begu (33e WTA), Monica Niculescu (47e WTA) et Sorana Cîrstea (61e WTA). La Grande Bretagne a deux joueuses individuelles dans le top 100 : Johanna Konta (10e WTA) et Heather Watson (72e WTA). La Roumanie et le Royaume Uni se sont rencontrés cinq fois dans la Fed Cup ; les Roumaines ont remporté la victoire quatre fois.
La compétition s’ouvre toutefois dans un climat tendu. Le capitaine non joueur de l’équipe roumaine de la Fed Cup, l’ex-tennisman Ilie Nastase, a provoqué une âpre controverse après avoir tenu des propos diffamatoires et racistes à l’égard de Serena Williams et après avoir eu un comportement inapproprié face à Anne Keothavong, capitaine non joueur de la sélection britannique. La Fédération internationale de tennis a ouvert une enquête à ce sujet.
Météo — Le temps reste plus froid que la normale de saison, en Roumanie. Le ciel est couvert et il pleut à verse sur le nord, l’ouest et le centre du pays. Les montagnes ont une allure hivernale et la couche de poudreuse est alimentée par de nouvelles chutes de neige et par la giboulée. Les tempêtes de neige de ces derniers jours ont bloqué plusieurs routes nationales, notamment du nord-ouest. Des milliers d’habitations des régions orientales ont été privées d’électricité, alors que le trafic ferroviaire et aérien a été sérieusement perturbé, les ports à la mer Noire étant, eux, fermés. Les températures de ce samedi doivent s’encadrer entre 7 et 15 degrés avec une petite dizaine de degrés, à midi, dans la capitale roumaine, où le soleil brille sur un ciel entièrement dégagé.