Funérailles – Les trois jours de deuil national décrété en Roumanie ont pris fin dimanche après que le dernier roi de Roumanie, Michel Ier, eut été inhumé à la veille, dans la nécropole royale de la ville de Curtea de Argeş (sud de la Roumanie), où reposent tous les souverains du pays ainsi que l’épouse du roi Michel, la reine Anne. Placé sur un affût de canon, le cercueil a été conduit vers la Cathédrale du Patriarcat orthodoxe, où s’est déroulée une autre cérémonie rendant hommage au dernier maréchal de l’Armée roumaine, commandant suprême de l’Armée royale pendant la seconde guerre mondiale. Une salve de 21 coups de canon a été tirée à l’honneur de l’ancien souverain. La Garde royale a salué une dernière fois le roi Michel I, tandis que la fanfare a chanté l’hymne national et l’hymne royal. Le cercueil avec la dépouille mortelle de l’ancien souverain a été ramené de Sinaia à Bucarest à bord de l’ancien train royal. Le passage du train a été salué par une foule de personne rassemblée dans les gares et même au long de la voie ferrée. Des dizaines de milliers de Roumains ont participé aux cérémonies funéraires organisées à Bucarest en présence des membres de la famille royale et des représentants des principales monarchies européennes.
Echos- Le gouvernement israélien partage la douleur de la famille royale de Roumanie après la mort de l’ex roi Michel I, véritable ami du peuple juif. C’est ce qu’a déclaré le chef du cabinet israélien, Benjamin Netanyahu. On n’oubliera jamais la mobilisation de la Maison royale de Roumanie pour sauver les Juifs de la mort pendant l’Holocauste, surtout le rôle joué par la mère de Michel I, la reine Elena. Celle-ci s’est vu d’ailleurs accorder le titre de « juste parmi les nations » précise-t-on dans un message transmis par l’Ambassade d’Israël à Bucarest. Précisons que les funérailles de l’ancien souverain roumain ont fait écho dans la presse internationale. La chaîne de télévision BBC a noté la présence, aux cérémonies de Bucarest, de nombreux représentants des familles royales d’Europe dont le Prince Charles et l’ancien souverain espagnol Juan Carlos. Pour l’Europe, l’ex souverain roumain, Michel I reste comme celui qui, en août 1944, décide de rejoindre le camp de ceux qui luttaient contre l’Allemagne. L’agence France Presse s’est, à son tour, consacrée aux funérailles de Roumanie, en notant la présence des milliers de Roumains réunis pour faire leurs adieux au derniers souverain de leur pays.
Funérailles – Les trois jours de deuil national décrété en Roumanie ont pris fin dimanche après que le dernier roi de Roumanie, Michel Ier, eut été inhumé à la veille, dans la nécropole royale de la ville de Curtea de Argeş (sud de la Roumanie), où reposent tous les souverains du pays ainsi que l’épouse du roi Michel, la reine Anne. Placé sur un affût de canon, le cercueil a été conduit vers la Cathédrale du Patriarcat orthodoxe, où s’est déroulée une autre cérémonie rendant hommage au dernier maréchal de l’Armée roumaine, commandant suprême de l’Armée royale pendant la seconde guerre mondiale. Une salve de 21 coups de canon a été tirée à l’honneur de l’ancien souverain. La Garde royale a salué une dernière fois le roi Michel I, tandis que la fanfare a chanté l’hymne national et l’hymne royal. Le cercueil avec la dépouille mortelle de l’ancien souverain a été ramené de Sinaia à Bucarest à bord de l’ancien train royal. Le passage du train a été salué par une foule de personne rassemblée dans les gares et même au long de la voie ferrée. Des dizaines de milliers de Roumains ont participé aux cérémonies funéraires organisées à Bucarest en présence des membres de la famille royale et des représentants des principales monarchies européennes.
Echos- Le gouvernement israélien partage la douleur de la famille royale de Roumanie après la mort de l’ex roi Michel I, véritable ami du peuple juif. C’est ce qu’a déclaré le chef du cabinet israélien, Benjamin Netanyahu. On n’oubliera jamais la mobilisation de la Maison royale de Roumanie pour sauver les Juifs de la mort pendant l’Holocauste, surtout le rôle joué par la mère de Michel I, la reine Elena. Celle-ci s’est vu d’ailleurs accorder le titre de « juste parmi les nations » précise-t-on dans un message transmis par l’Ambassade d’Israël à Bucarest. Précisons que les funérailles de l’ancien souverain roumain ont fait écho dans la presse internationale. La chaîne de télévision BBC a noté la présence, aux cérémonies de Bucarest, de nombreux représentants des familles royales d’Europe dont le Prince Charles et l’ancien souverain espagnol Juan Carlos. Pour l’Europe, l’ex souverain roumain, Michel I reste comme celui qui, en août 1944, décide de rejoindre le camp de ceux qui luttaient contre l’Allemagne. L’agence France Presse s’est, à son tour, consacrée aux funérailles de Roumanie, en notant la présence des milliers de Roumains réunis pour faire leurs adieux au derniers souverain de leur pays.
Commémoration – Journée de deuil dimanche, à Timisoara, à la mémoire de tous ceux tués 28 ans auparavant lors de la Révolution anticommuniste de décembre 1989. Ces jours-ci, des services religieux dans les églises et des dépôts de fleurs rendront hommage aux héros tombés dans les rues de la ville il y a 28 ans. Les commémorations ont débuté samedi par une marche populaire ayant suivi le parcours de la Révolution. Le point culminant sera atteint le 20 décembre, Journée de la Victoire, lorsqu’un concert rock rappellera que Timisoara avait été déclarée « première ville libérée du communisme ». Déclenchée par l’opposition des habitants de la ville envers une décision abusive du pouvoir local, la Révolution s’est rapidement répandue dans toute la Roumanie, culminant, le 22 décembre 1989, avec la fuite du dictateur Nicolae Ceauşescu. Un millier de gens ont perdu la vie et quelque 3.400 ont été blessés entre le 16 et le 25 décembre 1989. La Roumanie a été le seul pays de l’ancien Bloc communiste où le renversement du régime a été ensanglanté et où les dirigeants communistes ont été exécutés. Commission – La Commission spéciale du parlement roumain, en charge des lois de la justice, se réunira lundi à Bucarest pour examiner les amendements déposés. Ce paquet législatif, contenant le statut des magistrats et les lois d’organisation et de fonctionnement du Conseil supérieur de la magistrature, fera l’objet de débats au Sénat, qui a le pouvoir décisionnel. Lundi également, la Commission commencera à examiner la transposition dans la législation nationale de la directive européenne concernant la présomption d’innocence.
Finances- Le Ministère des Finances de Bucarest préconise d’émettre dans les deux années à venir des euro-obligations à moyen terme d’un montant total de 8 milliards d’euros, stipule un projet de décision gouvernementale paru sur le site du Ministère. Par cette mesure, on se propose à financer le déficit budgétaire et à refinancer la dette publique. A l’heure où l’on parle, la valeur totale des obligations émises et non remboursées dépasse les 19 milliards d’euros. Cette année, le gouvernement a contracté presque trois milliards d’euros de prêt sur les marchés extérieurs. Rappelons que les grandes agences de notation ont accordé à la Roumanie une note favorable aux investissements.
Météo- Le temps continuera à se refroidir. Le ciel sera plutôt couvert et des pluies tomberont sur le sud et le sud-ouest. Les minima chuteront jusqu’à -5 degrés et les maxima ne dépasseront pas les 6 degrés.