Funérailles – Le dernier roi de Roumanie, Michel Ier, a été inhumé samedi soir, dans la nécropole royale de la ville de Curtea de Argeş (sud de la Roumanie), où reposent tous les souverains du pays ainsi que l’épouse du roi Michel, la reine Anne. Un deuil national de trois jours a été décrété à la mémoire du dernier souverain roumain, décédé à l’âge de 96 ans en Suisse. Placé sur un affût de canon, le cercueil a été conduit vers la Cathédrale du Patriarcat orthodoxe, où s’est déroulée une autre cérémonie rendant hommage au dernier maréchal de l’Armée roumaine, commandant suprême de l’Armée royale pendant la seconde guerre mondiale. Une salve de 21 coups de canon a été tirée à l’honneur de l’ancien souverain. La Garde royale a salué une dernière fois le roi Michel I, tandis que la fanfare a chanté l’hymne national et l’hymne royal. Le cercueil avec la dépouille mortelle de l’ancien souverain a été ramené de Sinaia à Bucarest à bord de l’ancien train royal. Le passage du train a été salué par une foule de personne rassemblée dans les gares et même au long de la voie ferrée. Des dizaines de milliers de Roumains ont participé aux cérémonies funéraires organisées à Bucarest en présence des membres de la famille royale et des représentants des principales monarchies européennes.
Echos- Les funérailles de l’ancien souverain roumain ont fait la une dans la presse internationale. La chaîne de télévision BBC a noté la présence, aux cérémonies de Bucarest, de nombreux représentants des familles royales d’Europe dont le Prince Charles et l’ancien souverain espagnol Juan Carlos. Pour l’Europe, l’ex souverain roumain, Michel I reste comme celui qui, en août 1944, décide de rejoindre le camp de ceux qui luttaient contre l’Allemagne. L’agence France Presse s’est, à son tour, consacrée aux funérailles de Roumanie, en notant la présence des milliers de Roumains réunis pour faire leurs adieux au derniers souverain de leur pays. Depuis l’annonce, le 5 décembre, du décès de l’ancien roi Michel I, les Roumains n’ont pas cessé de faire la preuve de leur attachement envers cette figure tellement respectée de leur histoire et tellement discréditée par la classe politique, note France Presse. Pour sa part, l’agence Reuters écrit que des milliers de Roumains sont sortis dans les rues de la capitale pour rendre un dernier hommage à l’ex souverain.
Commémoration – Journée de deuil ce dimanche, à Timisoara à la mémoire de tous ceux tués 28 ans auparavant lors de la Révolution anticommuniste de décembre 1989. Ces jours-ci, des services religieux dans les églises et des dépôts de fleurs rendront hommage aux héros tombés dans les rues de la ville il y a 28 ans. Les commémorations ont débuté samedi par une marche populaire ayant suivi le parcours de la Révolution. Le point culminant sera atteint le 20 décembre, Journée de la Victoire, lorsqu’un concert rock rappellera que Timisoara avait été déclarée « première ville libérée du communisme ». Déclenchée par l’opposition des habitants de la ville envers une décision abusive du pouvoir local, la Révolution s’est rapidement répandue dans toute la Roumanie, culminant, le 22 décembre 1989, avec la fuite du dictateur Nicolae Ceauşescu. Un millier de gens ont perdu la vie et quelque 3.400 ont été blessés entre le 16 et le 25 décembre 1989. La Roumanie a été le seul pays de l’ancien Bloc communiste où le renversement du régime a été ensanglanté et où les dirigeants communistes ont été exécutés.
Budget – Le plénum du Parlement commencera lundi ses débats sur les projets de budget de l’Etat et de budget de la sécurité sociale pour 2018. Le vote final est prévu le 21 décembre. La construction budgétaire se fonde sur une croissance économique de 5,5%, sur un taux de change moyen de 4,55 lei pour un euro et un salaire mensuel moyen de 2.614 lei (près de 570 euro), ainsi que sur un déficit budgétaire estimé à 2,97% du PIB.
Visite – La commissaire européenne en charge de la politique régionale, Corina Creţu visitera la Roumanie lundi et mardi prochains. Elle aura des entretiens avec le premier ministre Mihai Tudose et avec plusieurs membres de son Cabinet. Corina Creţu participera aussi à plusieurs événements consacrés au financement européen, tels le Gala des Fonds structurels 2017. Et la commissaire européenne d’ajouter que la Roumanie avait fait de nombreux efforts pour mettre en place des programmes financés à travers la politique de cohésion, mais qu’elle devrait continuer dans cette même voie.
Funérailles – Le dernier roi de Roumanie, Michel Ier, a été inhumé samedi soir, dans la nécropole royale de la ville de Curtea de Argeş (sud de la Roumanie), où reposent tous les souverains du pays ainsi que l’épouse du roi Michel, la reine Anne. Un deuil national de trois jours a été décrété à la mémoire du dernier souverain roumain, décédé à l’âge de 96 ans en Suisse. Placé sur un affût de canon, le cercueil a été conduit vers la Cathédrale du Patriarcat orthodoxe, où s’est déroulée une autre cérémonie rendant hommage au dernier maréchal de l’Armée roumaine, commandant suprême de l’Armée royale pendant la seconde guerre mondiale. Une salve de 21 coups de canon a été tirée à l’honneur de l’ancien souverain. La Garde royale a salué une dernière fois le roi Michel I, tandis que la fanfare a chanté l’hymne national et l’hymne royal. Le cercueil avec la dépouille mortelle de l’ancien souverain a été ramené de Sinaia à Bucarest à bord de l’ancien train royal. Le passage du train a été salué par une foule de personne rassemblée dans les gares et même au long de la voie ferrée. Des dizaines de milliers de Roumains ont participé aux cérémonies funéraires organisées à Bucarest en présence des membres de la famille royale et des représentants des principales monarchies européennes.
Echos- Les funérailles de l’ancien souverain roumain ont fait la une dans la presse internationale. La chaîne de télévision BBC a noté la présence, aux cérémonies de Bucarest, de nombreux représentants des familles royales d’Europe dont le Prince Charles et l’ancien souverain espagnol Juan Carlos. Pour l’Europe, l’ex souverain roumain, Michel I reste comme celui qui, en août 1944, décide de rejoindre le camp de ceux qui luttaient contre l’Allemagne. L’agence France Presse s’est, à son tour, consacrée aux funérailles de Roumanie, en notant la présence des milliers de Roumains réunis pour faire leurs adieux au derniers souverain de leur pays. Depuis l’annonce, le 5 décembre, du décès de l’ancien roi Michel I, les Roumains n’ont pas cessé de faire la preuve de leur attachement envers cette figure tellement respectée de leur histoire et tellement discréditée par la classe politique, note France Presse. Pour sa part, l’agence Reuters écrit que des milliers de Roumains sont sortis dans les rues de la capitale pour rendre un dernier hommage à l’ex souverain.
Commémoration – Journée de deuil ce dimanche, à Timisoara à la mémoire de tous ceux tués 28 ans auparavant lors de la Révolution anticommuniste de décembre 1989. Ces jours-ci, des services religieux dans les églises et des dépôts de fleurs rendront hommage aux héros tombés dans les rues de la ville il y a 28 ans. Les commémorations ont débuté samedi par une marche populaire ayant suivi le parcours de la Révolution. Le point culminant sera atteint le 20 décembre, Journée de la Victoire, lorsqu’un concert rock rappellera que Timisoara avait été déclarée « première ville libérée du communisme ». Déclenchée par l’opposition des habitants de la ville envers une décision abusive du pouvoir local, la Révolution s’est rapidement répandue dans toute la Roumanie, culminant, le 22 décembre 1989, avec la fuite du dictateur Nicolae Ceauşescu. Un millier de gens ont perdu la vie et quelque 3.400 ont été blessés entre le 16 et le 25 décembre 1989. La Roumanie a été le seul pays de l’ancien Bloc communiste où le renversement du régime a été ensanglanté et où les dirigeants communistes ont été exécutés.
Budget – Le plénum du Parlement commencera lundi ses débats sur les projets de budget de l’Etat et de budget de la sécurité sociale pour 2018. Le vote final est prévu le 21 décembre. La construction budgétaire se fonde sur une croissance économique de 5,5%, sur un taux de change moyen de 4,55 lei pour un euro et un salaire mensuel moyen de 2.614 lei (près de 570 euro), ainsi que sur un déficit budgétaire estimé à 2,97% du PIB.
Visite – La commissaire européenne en charge de la politique régionale, Corina Creţu visitera la Roumanie lundi et mardi prochains. Elle aura des entretiens avec le premier ministre Mihai Tudose et avec plusieurs membres de son Cabinet. Corina Creţu participera aussi à plusieurs événements consacrés au financement européen, tels le Gala des Fonds structurels 2017. Et la commissaire européenne d’ajouter que la Roumanie avait fait de nombreux efforts pour mettre en place des programmes financés à travers la politique de cohésion, mais qu’elle devrait continuer dans cette même voie.
Coopération – Le ministre roumain de la Justice, Tudorel Toader, a fait une visite en Malaisie. L’occasion de rencontrer le procureur général malaisien et de signer un mémorandum entre les gouvernements de leurs pays. Le document prévoit différentes activités de coopération juridique tels des échanges législatives, des visites réciproques de différents représentants des institutions judiciaires des deux pays ou encore la promotion des programmes de coopération dans le domaine de la justice. En visite en Malaisie, le responsable roumain s’est également entretenu avec Ionut Alexandru Gologan, un Roumain arrêté en 2012 et condamné définitivement à la peine capitale pour trafic de drogues.
Météo- Le temps se refroidit dans le sud-est de la Roumanie. Le ciel est plutôt couvert et il pleut sur le relief, tandis que des chutes de neige sont signalées à la montagne. Le vent souffle à une vitesse de jusqu’à 50 km à l’heure. Les températures de la mi-journée se situent entre 0 et 8°. 3 degrés à midi, dans la capitale roumaine. Les hydrologues ont lancé une alerte orange aux inondations concernant des rivières dans le nord du pays et plusieurs bassins hydrographiques dans le nord-ouest