Budget – Le gouvernement que je dirige veillera à ce que le budget sur 2016 soit mis en place d’une façon transparente, efficace et surtout prudente afin d’écarter le risque de dérapages, a précisé mercredi, le premier ministre roumain, Dacian Ciolos au plénum du Parlement. La déclaration a été faite à l’issue de l’adoption par le Législatif des projets des projets des lois du Budget de l’Etat et de la sécurité sociale en 2016. A parler des recettes budgétaires envisagées de 800 millions d’euros de plus par rapport à 2015, Ciolos a déclaré que le gouvernement se propose de simplifier le processus de collecte dans le respect des citoyens et des agents économiques. Quant aux dépenses budgétaires de 13 milliards de plus à celles sur 2015, le cabinet Ciolos envisage de décourager le gaspillage à travers une meilleure transparence des acquisitions publiques, la réforme et la diminution des pertes dans les compagnies publiques et un plus d’efficacité dans l’administration publique. Le projet de budget 2016 table sur un déficit de 3% du PIB et repose sur une croissance économique de 4,1%.
Révolution- Le Parlement roumain se réunira en séance solennelle le 21 décembre pour marquer les 26 années écoulées depuis la Révolution anticommuniste de 1989, a fait savoir mercredi le vice-président du Sénat, Ioan Chelaru. Le 16 décembre 1989 la révolte anti-communiste commençait à Timisoara, dans l’ouest de la Roumanie. Ces jours-ci, les associations de révolutionnaires et les autorités locales de l’ouest du pays organisent plusieurs manifestations pour commémorer les événements qui ont entraîné la chute du régime communiste de Roumanie il y a 26 ans. Déclenchée par l’opposition des habitants de Timisoara à une mesure abusive des autorités locales, la Révolution s’est étendue à travers la Roumanie pour culminer le 22 décembre par la fuite du dictateur communiste Nicolae Ceausescu. Plus de mille personnes sont décédées et près de 3400 ont été blessées du 16 au 25 décembre 1989. La Roumanie a été l’unique pays d’Europe de l’Est où le changement du régime s’est fait par la violence et qui a exécuté ses ex-dirigeants communistes.
Révolution- Le Parlement roumain se réunira en séance solennelle le 21 décembre pour marquer les 26 années écoulées depuis la Révolution anticommuniste de 1989, a fait savoir mercredi le vice-président du Sénat, Ioan Chelaru. Le 16 décembre 1989 la révolte anti-communiste commençait à Timisoara, dans l’ouest de la Roumanie. Ces jours-ci, les associations de révolutionnaires et les autorités locales de l’ouest du pays organisent plusieurs manifestations pour commémorer les événements qui ont entraîné la chute du régime communiste de Roumanie il y a 26 ans. Déclenchée par l’opposition des habitants de Timisoara à une mesure abusive des autorités locales, la Révolution s’est étendue à travers la Roumanie pour culminer le 22 décembre par la fuite du dictateur communiste Nicolae Ceausescu. Plus de mille personnes sont décédées et près de 3400 ont été blessées du 16 au 25 décembre 1989. La Roumanie a été l’unique pays d’Europe de l’Est où le changement du régime s’est fait par la violence et qui a exécuté ses ex-dirigeants communistes.
Protestations- Le gouvernement roumain a fait un geste mercredi envers les bergers en colère en suspendant par décret d’urgence une mesure qui limite le nombre de leurs chiens et promettant de trouver une solution d’ici la fin avril. Le décret suspend aussi l’interdiction de pâturage entre début décembre et fin avril, contestée par les bergers qui pour beaucoup n’ont pas assez de fourrages pour nourrir leurs bêtes pendant l’hiver, note AFP. La décision survient après que la veille, des milliers de bergers avaient pris d’assaut le Parlement pour réclamer l’abrogation d’une loi récente visant a protéger le gibier. Celle – ci interdit entre autre le droit de pacage entre décembre et avril afin de protéger le fonds cynégétique et limite le nombre de chiens qu’un berger peut avoir.
Chisinau – Une nouvelle entrevue entre les leaders des 3 partis politiques pro-européens de la République de Moldova voisine, à savoir le Parti Libéral Démocrate, le Parti Démocrate et le Parti Libéral aura lieu vendredi, a fait savoir ce mercredi le président moldave, Nicolae Timofti, à l’issue d’un nouveau round de consultations avec les chefs de ces trois partis en vue de former une nouvelle alliance, un mois et demi après la chute du gouvernement dirigé par le libéral – démocrate Valeriu Strelet. Les débats sont difficiles dans le contexte où le président par intérim des démocrates – libéraux, Valeriu Strelet et le leader des démocrates, Marian Lupu, se disputent le droit de désigner le premier ministre. Selon le chef des libéraux moldaves, Mihai Ghimpu, ces débats sont plutôt un blocage politique, qu’une tentative de détendre la situation. Aux termes de la Constitution de la République de Moldova, l’actuel Parlement doit valider le gouvernement avant le 29 janvier. En cas contraire, le Parlement sera dissolu et il faudra organiser des élections parlementaires anticipées.
Météo- Le ciel est plutôt couvert sur l’est et le sud-est du territoire. Des précipitations sont signalées par endroits. Le brouillard fera son apparition dans les régions de plaine. Le vent soufflera légèrement. Les minimales iront de -8 à 1 degrés et les maximales d’1 à 6 degrés.