14.10.2013 (mise à jour)
Energie – La Commission européenne a publié lundi la liste des quelque 250 projets prioritaires pour l’infrastructure de transport énergétique transeuropéenne pour la période 2014-2020. Selon le commissaire européen chargé de l’énergie, Günther Ottinger, la Commission devrait allouer près de six milliards à leur mise en œuvre dans les sept prochaines années ; l’argent sera disponible sous la forme de subventions effectives, prêts ou garanties bancaires. La Roumanie est impliquée dans plusieurs de ces projets. Il s’agit notamment de l’Interconnexion Azerbaïdjan-Géorgie-Roumanie visant l’acheminement du gaz azerbaïdjanais en Europe, du projet de gazoduc reliant la Bulgarie à l’Autriche via la Roumanie et la Hongrie, ainsi que du projet White Stream de construction d’une pipeline sous-marine entre la Roumanie et la Géorgie. D’autres projets impliquant la Roumanie, concernent l’amélioration des capacités de transport de l’électricité depuis et en Bulgarie et en Serbie.
România Internațional, 14.10.2013, 19:38
Energie – La Commission européenne a publié lundi la liste des quelque 250 projets prioritaires pour l’infrastructure de transport énergétique transeuropéenne pour la période 2014-2020. Selon le commissaire européen chargé de l’énergie, Günther Ottinger, la Commission devrait allouer près de six milliards à leur mise en œuvre dans les sept prochaines années ; l’argent sera disponible sous la forme de subventions effectives, prêts ou garanties bancaires. La Roumanie est impliquée dans plusieurs de ces projets. Il s’agit notamment de l’Interconnexion Azerbaïdjan-Géorgie-Roumanie visant l’acheminement du gaz azerbaïdjanais en Europe, du projet de gazoduc reliant la Bulgarie à l’Autriche via la Roumanie et la Hongrie, ainsi que du projet White Stream de construction d’une pipeline sous-marine entre la Roumanie et la Géorgie. D’autres projets impliquant la Roumanie, concernent l’amélioration des capacités de transport de l’électricité depuis et en Bulgarie et en Serbie.
Fraude – Le nombre des fraudes aux fonds européens s’est triplé en 2012 par rapport à 2010, la plupart des malversations étant recensées dans le secteur privé, apprend-on d’une étude de la Société académique de Roumanie, publié lundi. Selon le texte, 60 cas d’escroquerie impliquant des compagnies privées ont été révélés par les enquêteurs, contre une trentaine seulement engageant des autorités publiques. L’étude fait également le compte-rendu des méthodes pour frauder les fonds européens ; parmi elles — les faux documents et déclarations, la tromperie, le changement de la destination de l’argent. Le rapport de la Société académique de Roumanie utilise des données fournies par le Département de lutte anti-fraude et par le Parquet anticorruption de Roumanie.
Savoir-faire – Le manque de savoir-faire technique ou décisionnel est un des principaux obstacles auquel se heurtent les Roumains et les Bulgares dans la préparation de projets éligibles pour les subventions de l’UE, peut-on lire dans un rapport de la Banque européenne pour les investissements, la Banque mondiale, et la Banque européenne pour la reconstruction et le développement. Le document remarque également les retards et les tergiversations administratifs répétés, intervenus dans le processus de validation des projets. Notons que le taux d’absorption des fonds communautaires était de 23,7% en septembre dernier, selon les chiffres du ministère des Fonds européens de Bucarest.
Environnement – Les Etats membres de lUE ont accepté lundi de différer un vote sur la réduction des rejets de CO2 des voitures a 95 grammes par kilomètre en 2020 pour tenter de trouver un accord satisfaisant pour lAllemagne, informe l’AFP. La demande présentée par lAllemagne prévoyait de permettre aux constructeurs de ne réaliser que 80% de lobjectif de réduction en 2020 et darriver par étapes a 100% en 2024. Dans le même temps, les ministres de l’environnement des 28, dont la Roumaine Rovana Plumb, se sont penchés sur les modifications à apporter au règlement du transfert des déchets.