10.10.2015 (mise à jour)
Attentat – La Roumanie condamne fermement les attaques criminelles perpétrées à Ankara, a déclaré samedi le chef de lEtat roumain, Klaus Iohannis, en réitérant le soutien à la Turquie. Le MAE de Bucarest a transmis ses condoléances aux autorités turques, au peuple et aux familles des victimes et toute sa compassion aux personnes blessées. Pour sa part, la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini a appelé la Turquie à « rester unie » contre les « terroristes » et les autres menaces. A Ankara, le président turc Recep Tayyip Erdogan a condamné sévèrement le double attentat de samedi soldé par au moins 85 morts et plus de 185 blessés. Le leader dAnkara a lancé un appel à la solidarité et à la détermination, la meilleure réplique, selon lui, à la terreur. Les attentats sont intervenus avant un rassemblement en faveur de la paix prévu sur le site de lexplosion, à lappel de plusieurs syndicats et partis politiques de gauche dont le principal parti prokurde du pays, le Parti démocratique des peuples. Dans la foulée de cette explosion, de violents affrontements ont repris entre larmée turque et les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), faisant voler en éclat un fragile cessez-le-feu qui tenait depuis mars 2013.
Newsroom, 10.10.2015, 18:59
Attentat – La Roumanie condamne fermement les attaques criminelles perpétrées à Ankara, a déclaré samedi le chef de lEtat roumain, Klaus Iohannis, en réitérant le soutien à la Turquie. Le MAE de Bucarest a transmis ses condoléances aux autorités turques, au peuple et aux familles des victimes et toute sa compassion aux personnes blessées. Pour sa part, la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini a appelé la Turquie à « rester unie » contre les « terroristes » et les autres menaces. A Ankara, le président turc Recep Tayyip Erdogan a condamné sévèrement le double attentat de samedi soldé par au moins 85 morts et plus de 185 blessés. Le leader dAnkara a lancé un appel à la solidarité et à la détermination, la meilleure réplique, selon lui, à la terreur. Les attentats sont intervenus avant un rassemblement en faveur de la paix prévu sur le site de lexplosion, à lappel de plusieurs syndicats et partis politiques de gauche dont le principal parti prokurde du pays, le Parti démocratique des peuples. Dans la foulée de cette explosion, de violents affrontements ont repris entre larmée turque et les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), faisant voler en éclat un fragile cessez-le-feu qui tenait depuis mars 2013.