08.12.2016 (mise à jour)
Décision — L’Institut pour l’investigation des crimes du communisme et la mémoire de l’exil roumain (ICCMER) pourra dorénavant organiser des activités muséales ou de témoignage ou encore des expositions nationales et internationales, a décidé, ce jeudi, le gouvernement de Bucarest. L’Institut sera chargé de gérer la base nationale de données concernant la biographie du communisme roumain, les monuments et les espaces de mémoire, les combattants anti-communistes et les victimes du communisme.
Newsroom, 08.12.2016, 19:08
Décision — L’Institut pour l’investigation des crimes du communisme et la mémoire de l’exil roumain (ICCMER) pourra dorénavant organiser des activités muséales ou de témoignage ou encore des expositions nationales et internationales, a décidé, ce jeudi, le gouvernement de Bucarest. L’Institut sera chargé de gérer la base nationale de données concernant la biographie du communisme roumain, les monuments et les espaces de mémoire, les combattants anti-communistes et les victimes du communisme.