06.10.2014 (mise à jour)
Diplomatie – Le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlăţean et son homologue tchèque, Lubomir Zaoralek, ont signé lundi à Bucarest un accord portant sur les sépultures de guerre. Par ce document, les deux pays s’engagent à préserver les tombes des héros de l’autre pays. Les discussions entre les deux ministres ont également porté sur les relations bilatérales, sur de sujets de l’agenda international, avec un accent particulier mis sur les évolutions au Moyen Orient, sans pour autant oublier les évolutions de sécurité dans le bassin de la Mer Noire. Dans ce contexte, Titus Corlăţean a réaffirmé le soutien de la Roumanie pour la poursuite du parcours européen des pays qui ont signé l’accord d’association politique et économique avec l’UE, notamment la République de Moldova, l’Ukraine et la Géorgie. La visite officielle en Roumanie du ministre tchèque des affaires étrangères a lieu dans le contexte du 20 anniversaire de la signature du Traité d’amitié et de coopération entre les deux pays.
Newsroom, 06.10.2014, 19:53
Diplomatie – Le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlăţean et son homologue tchèque, Lubomir Zaoralek, ont signé lundi à Bucarest un accord portant sur les sépultures de guerre. Par ce document, les deux pays s’engagent à préserver les tombes des héros de l’autre pays. Les discussions entre les deux ministres ont également porté sur les relations bilatérales, sur de sujets de l’agenda international, avec un accent particulier mis sur les évolutions au Moyen Orient, sans pour autant oublier les évolutions de sécurité dans le bassin de la Mer Noire. Dans ce contexte, Titus Corlăţean a réaffirmé le soutien de la Roumanie pour la poursuite du parcours européen des pays qui ont signé l’accord d’association politique et économique avec l’UE, notamment la République de Moldova, l’Ukraine et la Géorgie. La visite officielle en Roumanie du ministre tchèque des affaires étrangères a lieu dans le contexte du 20 anniversaire de la signature du Traité d’amitié et de coopération entre les deux pays.
Première voiture — Le gouvernement de Bucarest vient de lancer le programme “La première voiture”, afin de permettre aux jeunes de se procurer une nouvelle automobile. Pour pouvoir en bénéficier plusieurs critères sont requis, comme par exemple avoir moins de 35 ans et ne pas posséder d’autre voiture. L’avance minimum est de 5 à 10% de la valeur totale du crédit qui s’étale sur une période maximum de 7 ans. En plus l’intérêt se situera en dessous du niveau actuel de 10-12%. Les automobiles achetées par le biais de ce programme ne doivent pas dépasser les 12.400 euros. Le programme « La première voiture » entrera en vigueur le 1er novembre.
Dépenses — En Roumanie, deux tiers des dépenses d’une famille sont destinées à la nourriture, au transport et aux factures — eau, électricité, téléphonie et gaz. Selon les données publiées lundi par l’Institut national de la statistique, une famille roumaine alloue moins de 5% de ses revenus aux soins de santé, alors que les sommes destinées à l’éducation et à la récréation sont encore plus réduites. En même temps, environ 10% de l’argent d’un foyer est dépensé pour acheter des cigarettes et de l’alcool et pour de sorties au restaurant. Selon l’Institut national de la statistique une famille roumaine utilise en moyenne un peu plus de 5% de ses dépenses mensuelle pour se procurer des vêtements et des chaussures.