02.11.2017 (mise à jour)
Fiscalité – Le président roumain Klaus Iohannis a déclaré que les mesures fiscales annoncées par le Gouvernement, parmi lesquelles le transfert des contributions de l’employeur à l’employé et la réduction de l’impôt sur le revenu compliqueraient les problèmes actuels, au lieu de les résoudre. Il a demandé à la coalition au pouvoir formée par le PSD et l’ALDE de faire preuve de responsabilité et de renoncer à ce genre de politique fiscale. Le chef de l’Etat a recommandé aux responsables politiques et gouvernementaux d’être prudents, soulignant que la Roumanie avait besoin d’une politique soutenable. Aux dires du président, la Roumanie traverse une période de croissance économique, basée pourtant sur la consommation. M Iohannis a souligné que les investissements publics et privés avaient connu une baisse significative par rapport à la même période de l’année dernière. Les syndicats de Roumanie sont également mécontents en raison notamment d’une possible baisse des salaires suite au transfert des contributions sociales de l’employeur à l’employé, après le 1er janvier 2018.
Newsroom, 02.11.2017, 20:06
Fiscalité – Le président roumain Klaus Iohannis a déclaré que les mesures fiscales annoncées par le Gouvernement, parmi lesquelles le transfert des contributions de l’employeur à l’employé et la réduction de l’impôt sur le revenu compliqueraient les problèmes actuels, au lieu de les résoudre. Il a demandé à la coalition au pouvoir formée par le PSD et l’ALDE de faire preuve de responsabilité et de renoncer à ce genre de politique fiscale. Le chef de l’Etat a recommandé aux responsables politiques et gouvernementaux d’être prudents, soulignant que la Roumanie avait besoin d’une politique soutenable. Aux dires du président, la Roumanie traverse une période de croissance économique, basée pourtant sur la consommation. M Iohannis a souligné que les investissements publics et privés avaient connu une baisse significative par rapport à la même période de l’année dernière. Les syndicats de Roumanie sont également mécontents en raison notamment d’une possible baisse des salaires suite au transfert des contributions sociales de l’employeur à l’employé, après le 1er janvier 2018.
Conférences – Point final ce jeudi de la Conférence des femmes de la Francophonie consacrée au thème « Création, innovation, entrepreneuriat, croissance et développement: les femmes s’affirment », qui a réuni quelque 600 participants. Des représentants de 48 pays francophones ont discuté des droits des femmes et de leur accès au marché du travail ou bien de leur contribution à l’innovation et à l’entrepreneuriat. Des recommandations ont été faites à tous les Etats et gouvernements francophones pour assurer l’égalité des chances entre hommes et femmes dans le domaine économique. L’OIF est en train d’élaborer un plan d’action visant à conférer davantage d’autonomie et d’indépendance économique et financière aux femmes. Les conclusions de la conférence de Bucarest se retrouveront dans la Stratégie de la Francophonie pour l’égalité entre femmes et hommes. La création d’un réseau francophone des femmes entrepreneures et d’une plate-forme enligne a été annoncée durant la cérémonie de clôture de la Conférence, dont la déclaration finale est le document intitulé « l’appel de Bucarest »
Météo – Températures à la hausse dans les jours à venir en Roumanie. Ciel variable, plutôt ensoleillé sur le sud et le sud-est du pays. Des nuages pourraient apparaître sur le reste du territoire et même quelques pluies sont possibles, notamment sur le nord. La vitesse du vent est plus élevée sur le relief et notamment en haute montagne. Les températures tourneront autour des 15 degrés durant la journée dans les jours à venir.
Espagne – Le parquet espagnol a demandé jeudi l’émission d’un mandat d’arrêt européen contre le président catalan destitué Carles Puigdemont et quatre de ses ministres, après leur refus de comparaître devant une juge d’instruction madrilène, fait savoir l’AFP. La juge doit encore décider si elle accepte de délivrer ce mandat qui s’adresserait aux autorités belges, puisque les cinq se trouvent ou tout au moins se sont rendus en Belgique, selon le parquet. Carles Puigdemont et 14 conseillers (ministres) du gouvernement de Catalogne, destitué le 27 octobre après la proclamation de la République de Catalogne indépendante, étaient cités a comparaître dans une enquête pour sédition et rébellion, délits passibles d’un maximum de trente ans de prison. Par la voix de son avocat belge, M Puigdemont s’est dit disposé a répondre aux questions de la justice espagnole, mais depuis Bruxelles. Les neuf autres membres de son gouvernement destitué ont comparu jeudi matin. Le parquet a requis leur placement en détention provisoire, sauf un pour lequel il a demandé une libération sous caution de 50.000 euros. Rappelons-le, l’exécutif de Madrid a assumé le contrôle direct de la Catalogne et convoqué des élections anticipées dans la région le 21 décembre.