La guerre en Ukraine, dernières évolutions
Kiev souhaite
discuter avec Moscou du cessez-le-feu, de la conclusion d’un armistice et de la création de couloirs
humanitaires, mais ne fera pas de concessions concernant l’intégrité
territoriale du pays. De son côté, la porte-parole du ministère russe des
Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré que Moscou était ouverte aux
négociations avec l’Ukraine pour qu’il n’y ait plus de nouvelle victimes. Lors
de sa discussion avec le président français, EM, Le leader de Kremlin, Vladimir
Poutine, a réaffirmé que le principal objectif de la Russie était de
démilitariser l’Ukraine et d’obtenir sa neutralité. Entre temps, jeudi, sur le
territoire ukrainien, les troupes russes ont continué de bombarder des quartiers
résidentiels dans les grandes villes. Moscou a aussi intensifié ses
efforts pour occuper Kiev.
Newsroom, 03.03.2022, 20:55
Kiev souhaite
discuter avec Moscou du cessez-le-feu, de la conclusion d’un armistice et de la création de couloirs
humanitaires, mais ne fera pas de concessions concernant l’intégrité
territoriale du pays. De son côté, la porte-parole du ministère russe des
Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré que Moscou était ouverte aux
négociations avec l’Ukraine pour qu’il n’y ait plus de nouvelle victimes. Lors
de sa discussion avec le président français, EM, Le leader de Kremlin, Vladimir
Poutine, a réaffirmé que le principal objectif de la Russie était de
démilitariser l’Ukraine et d’obtenir sa neutralité. Entre temps, jeudi, sur le
territoire ukrainien, les troupes russes ont continué de bombarder des quartiers
résidentiels dans les grandes villes. Moscou a aussi intensifié ses
efforts pour occuper Kiev.
Selon l’ONU, 249 civils ont été tués et 550 ont été blessés au cours des
cinq premiers jours de l’invasion russe en Ukraine. Les autorités ukrainiennes
ont annoncé leur propre bilan des victimes civiles causées par l’invasion
russe, citant au moins 2 000 civils morts. La Cour pénale internationale a
annoncé « l’ouverture immédiate » d’une enquête sur la situation en Ukraine, où
des crimes de guerre auraient été commis, après avoir reçu le feu vert de 39
États, dont la Roumanie. Notons que l’Ukraine n’a pas signé le Statut de Rome,
soit le traité international qui a créé la Cour pénale internationale, mais a
officiellement reconnu la compétence de la Cour pour les crimes commis sur son
territoire.