A la Une de la presse roumaine 28.01.2013
Au sommet du Chili participe aussi le président roumain Traian Basescu, qui selon Romania libera souhaite rétablir des relations bilatérales avec les leaders des Etats de cette région avec pas moins de 400 millions d’habitants. Mircea Marian, le correspondant du quotidien Evenimentul zilei à Santiago du Chili, intitule son article « Basescu, dans la ville ou les chats courent très vite », en raison du grand nombre des chiens errants dans la capitale chilienne. Le sommet semble intéresser peu de personnes, affirme le journaliste qui ajoute que les grandes agences de presse ont soit ignoré l’événement soit ont envoyé des dépêches formelles.
Alex Diaconescu, 28.01.2013, 13:54
Au sommet du Chili participe aussi le président roumain Traian Basescu, qui selon Romania libera souhaite rétablir des relations bilatérales avec les leaders des Etats de cette région avec pas moins de 400 millions d’habitants. Mircea Marian, le correspondant du quotidien Evenimentul zilei à Santiago du Chili, intitule son article « Basescu, dans la ville ou les chats courent très vite », en raison du grand nombre des chiens errants dans la capitale chilienne. Le sommet semble intéresser peu de personnes, affirme le journaliste qui ajoute que les grandes agences de presse ont soit ignoré l’événement soit ont envoyé des dépêches formelles.
« Qu’est-ce que la Roumanie peut gagner en Amérique latine ? » se demande aussi Romania libera, qui précise que le chef de l’Etat roumain a déjà rencontré les présidentes de l’Argentine, Cristina Kirshner, et du Brésil, Dilma Roussef. Le même quotidien note que les échanges commerciaux avec l’Amérique du sud se sont intensifiés ces dernières années, et que leur balance excédentaire favorise la Roumanie. Outillages agricoles, produits chimiques, pièces et sous-ensembles automobiles, produits sidérurgiques mais aussi l’accès aux ressources de cuivre du Chili et du Pérou, voilà les principaux objectifs de la diplomatie roumaine vis-à-vis de l’Amérique du sud, conclut Romania libera.
Changeons de cap pour la Roumanie, où les nouvelles sont assez inquiétantes pour les propriétaires d’automobiles. Selon Jurnalul national, le timbre d’environnement qui vient d’être introduit en Roumanie suscite des controverses parmi les acteurs du marché automobile. En effet, la décision de réduire la taxe d’immatriculation pour les véhicules de plus de 15 ans risque de transformer la Roumanie en poubelle de l’Europe, affirment les représentants de l’industrie automobile. La logique c’est que la durée de vie d’une vieille voiture est plus réduite et c’est pourquoi pendant toute sa vie, elle polluera moins qu’une voiture plus récente. Selon d’autres voix citées par Jurnalul national, les plus touchés par l’introduction du timbre d’environnement sont les propriétaires de véhicules qui respectent les normes de pollution euro 3 et 4, produites en Roumanie ou pour la Roumanie entre les années 2005 et 2007. Pour ces véhicules, le coût tellement élevé du timbre d’environnement rend presque impossible leur vente sur le marché de l’occasion, lit-on dans Jurnalul national.
Autre mauvaise nouvelle pour les automobilistes dans Adevarul, qui explique pourquoi les assureurs ont annoncé la majoration des prix des assurances responsabilité civile. En effet, les compagnies sont obligées de constituer des réserves financières afin de couvrir intégralement et rapidement les dommages en cas d’accident, explique Adevarul. Bref pour un prix plus élevé les automobilistes bénéficient d’une assurance meilleure. Au moins en théorie.