A la Une de la presse roumaine 06.05.2019
La presse roumaine cite la presse britannique, selon laquelle : « les Roumains ne sont plus attirés par les salaires offerts
pour cueillir des fraises en Grande Bretagne ». Qui plus est, les Roumains sont plus nombreux à rester au pays en raison du développement de
l’économie nationale qui fait que les écarts salariaux entre les deux pays,
jadis énormes, diminuent à l’heure où l’on parle. Une
situation similaire est à retrouver en Allemagne, où le nombre de travailleurs journaliers, notamment roumains et polonais, a
baissé, car les gens refusent le salaire minimum offert par ce pays. Par ailleurs, les économistes tirent la sonnette d’alarme; de
gros problèmes de financer le déficit budgétaire de la Roumanie sont à prévoir vu que la
consommation rester le moteur de la croissance économique.
Valentina Beleavski, 06.05.2019, 12:55
La presse roumaine cite la presse britannique, selon laquelle : « les Roumains ne sont plus attirés par les salaires offerts
pour cueillir des fraises en Grande Bretagne ». Qui plus est, les Roumains sont plus nombreux à rester au pays en raison du développement de
l’économie nationale qui fait que les écarts salariaux entre les deux pays,
jadis énormes, diminuent à l’heure où l’on parle. Une
situation similaire est à retrouver en Allemagne, où le nombre de travailleurs journaliers, notamment roumains et polonais, a
baissé, car les gens refusent le salaire minimum offert par ce pays. Par ailleurs, les économistes tirent la sonnette d’alarme; de
gros problèmes de financer le déficit budgétaire de la Roumanie sont à prévoir vu que la
consommation rester le moteur de la croissance économique.